«Je veux avec la grâce de mon Dieu anéantir toute pensée qui peut non seulement me séparer de Lui mais m’en détourner. Je ferai surtout attention à supprimer le qu’en dira-t-on, je voudrais me mettre au-dessus du respect humain. Mon Dieu ne donnez plus d’entrée dans mon cœur qu’à la crainte de vous déplaire et au désir de vous aimer».
M. Adelaïde de Cicé, Retraite d’octobre 1776